Entre mi-mars et mi-mai 2020, la vie publique a été largement mise en suspens. La Suisse était sous l’emprise de la pandémie de Covid-19. Les écoles ont été fermées et le télétravail est devenu la règle, lorsqu’il était possible. La circulation dans l’espace public a été réduite au strict minimum. Pour beaucoup de personnes, la liberté de mouvement s’est limitée à quatre murs et au noyau familial. Cette situation sans précédent a généré de grandes incertitudes en matière de risques sanitaires et d’avenir.
Entre mi-mars et mi-mai 2020, la vie publique a été largement mise en suspens. La Suisse était sous l’emprise de la pandémie de Covid-19. Les écoles ont été fermées et le télétravail est devenu la règle, lorsqu’il était possible. La circulation dans l’espace public a été réduite au strict minimum. Pour beaucoup de personnes, la liberté de mouvement s’est limitée à quatre murs et au noyau familial. Cette situation sans précédent a généré de grandes incertitudes en matière de risques sanitaires et d’avenir.