La nouvelle étude intitulée «Vieillir sans la présence de la famille» est disponible. Elle offre un aperçu jusqu'ici inconnu d'une problématique qui touche au moins 140 000 personnes en Suisse.
Nous savons désormais que les offres existantes pour les personnes âgées ne peuvent pas toujours remplacer le soutien familial manquant. Les personnes âgées qui ne peuvent pas compter le soutien de membres de leur famille ont donc plus de risque de ne pas pouvoir être suffisamment accompagnées dans leur vieillesse. Ces lacunes en matière d’accompagnement peuvent entraîner des inégalités.
L’étude, financée par huit organisations et fondations suisses, ne se contente pas de combler d’importantes lacunes dans les connaissances, mais propose également des recommandations d’action pour l’avenir du travail auprès des personnes âgées et de la politique de la vieillesse.
La nouvelle étude intitulée «Vieillir sans la présence de la famille» est disponible. Elle offre un aperçu jusqu'ici inconnu d'une problématique qui touche au moins 140 000 personnes en Suisse.
Nous savons désormais que les offres existantes pour les personnes âgées ne peuvent pas toujours remplacer le soutien familial manquant. Les personnes âgées qui ne peuvent pas compter le soutien de membres de leur famille ont donc plus de risque de ne pas pouvoir être suffisamment accompagnées dans leur vieillesse. Ces lacunes en matière d’accompagnement peuvent entraîner des inégalités.
L’étude, financée par huit organisations et fondations suisses, ne se contente pas de combler d’importantes lacunes dans les connaissances, mais propose également des recommandations d’action pour l’avenir du travail auprès des personnes âgées et de la politique de la vieillesse.